FIAT Chrysler connaît lui aussi son « dieselgate » aux États-Unis
Le groupe américano-italien a violé les lois américaines sur la pollution de l’air en dissimulant l’existence d’un logiciel équipant 104 000 de ses véhicules aux États-Unis. Rejetant ces accusations, il a exprimé le souhait de régler « équitablement » cette affaire avec la future administration Trump.